Saturday, November 28, 2009

Ibrahim Maalouf - Listen to the trumpet....



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Wednesday, November 04, 2009


عسى ان تحبوا شيأ وهوشر لكم

وعسى ان تكرهوا شيأ وهوخيرلكم
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Sunday, November 01, 2009

Liberté d'e.xpression - Le droit au Web














Les internautes finlandais sont décidément bien chanceux. Le ministère des Transports et de la Communication du pays a annoncé officiellement que l'accès haut débit sera garanti par la loi pour tous les habitants, dès juillet 2010. La Finlande est déjà l'un des pays les plus connectés du monde, avec plus de 95 % de foyers reliés au réseau. D’autres états européens devraient bientôt se pencher sur la question et s’aligner sur la Finlande, considérant l’accès à la Toile comme “un droit fondamental, au même titre que la liberté d'expression”.

Source : http://www.telquel-online.com Lire la suite...

Wednesday, September 02, 2009

Keep playing






Source : TED.com Lire la suite...

Thursday, June 25, 2009

Plaidoyer pour la subjectivité - Andreï Arkhangelski


Un mythe prodigieusement répandu à propos du journalisme moderne est celui de l’“objectivité”.
Allez savoir pourquoi, chez nous, toute personne qui écrit est censée être objective – c’est la première exigence de la société vis-à-vis des journalistes. Or, si, en tant que lecteur, je veux me faire une idée objective des processus politiques en cours, je dois lire la chronique de Vitali Ivanov dans Vzgliad, puis celle de Leonid Radzikhovski et encore une douzaine d’autres dans différents journaux. C’est la confrontation de divers points de vue qui crée l’objectivité tant désirée. Elle se fabrique dans l’esprit de chacun ; personne ne peut vous l’apporter sur un plateau. Le fait de ne pas comprendre cela a transformé ­l’exigence, a priori juste et fondamentale, d’une “presse ob­jective” en Russie en son exact contraire – un instrument répressif, un moyen de bannir toute liberté de pensée dans les médias. Dans la pratique, les journaux ne souhaitent pas avoir de problèmes avec le pouvoir, ils veulent ­éviter d’agacer leurs lecteurs ou leurs annonceurs, ce qui les em­pêche d’exprimer la moindre opinion tranchée. Dans ce contexte, “objectivité” signifie servilité, absence de conviction, d’intelligence, de sens, brassage d’air stérile. Les “faits objectifs” ne sont pas une absurdité, mais un euphémisme de fonctionnaire. Dès les années 1950, Roland Barthes, analysant la presse française, notait que le terme “Dieu” signifiait généralement “le gouvernement français”. Il en va de même en Russie. Lorsqu’un fonctionnaire parle de “faits objectifs”, cela veut dire “faits dans leur version approuvée par l’administration régionale”.

Ce glissement perfide qui fait que tout journaliste “doit d’abord être objectif” arrange tout le monde, ou presque : le pouvoir, le monde des affaires et le grand public. La notion d’objectivité s’est transformée en piège et l’exigence d’objectivité tourne à la parodie objectiviste. La plupart des journalistes, soumis à ce que l’on appelle les lois du marché, sont contraints de jouer le jeu et, afin de conférer à leurs articles des allures “objectives”, d’employer de lâches procédés du type “d’un côté…, mais, de l’autre…”. Non seulement ce jeu n’ajoute aucune objectivité, mais il vide souvent de son sens le travail du journaliste et désoriente le lecteur. De cette première grande illusion découle une seconde : l’idée naïve que le fait est un mètre-étalon, une unité de mesure de l’objectivité, l’élément fondamental sur lequel repose tout l’édifice du journalisme.

Pardon, mais, dans la société de l’information où nous vivons, tout journaliste débutant est capable de trouver, sur n’importe quel sujet, 200 faits bruts en faveur d’une thèse, et 200 autres contre, avec la même facilité. Le lecteur candide n’imagine pas que les faits ont pu être sélectionnés pour qu’on n’ait pas envie d’en connaître ni d’en chercher d’autres. Pour faire simple, la première chose, et la plus importante, que vous doivent (à vous, la société) les journalistes, c’est la vérité. Or la vérité, pas plus que la conscience, n’appartient à la catégorie des notions objectives. Cela n’empêche nullement tout un chacun d’affirmer qu’il a raison ou qu’il connaît le fond des choses. La vérité n’est pas la même selon chacun, mais, si on n’a pas le désir de porter sa propre vérité à la société, aucune vérité n’est alors possible. Aujourd’hui, seule la réputation, le professionnalisme, le talent de celui qui écrit peuvent être des gages d’intégrité et de crédibilité. “En Russie, seul un homme de talent peut écrire la vérité”, a dit un jour le poète et publiciste Konstantin Kedrov.

Paradoxalement, l’opinion personnelle de celui qui écrit, avec toute sa subjectivité, remplit mieux la fonction essentielle des médias : la communication. Qu’il soit ou non d’accord avec l’auteur, le lecteur est en effet obligé de réfléchir au problème évoqué. Dans le journalisme russe, ce qui m’inspire le plus confiance en tant que lecteur, ce ne sont pas les faits eux-mêmes mais le point de vue sur ces faits, l’analyse d’un regard original, les arguments personnels. C’est ainsi que le journalisme d’auteur, subjectif, est actuellement le plus objectif de tous. Et je ne peux me fonder que sur l’avis d’un journaliste qui ne cache pas sa subjectivité. La principale garantie d’indépendance de la presse est justement l’engagement de ses acteurs, les journalistes. S’ils assument leurs sympathies et antipathies, cela signifie au moins qu’ils sont honnêtes envers les lecteurs.


Source : www.courrierinternational.com - Vzgliad - Andreï Arkhangelski - 18.06.2009

Né en 1974, Andreï Arkhangelski est un chroniqueur assidu du quotidien en ligne Vzgliad. Il écrit aussi dans les pages culture de l’hebdomadaire Ogoniok. Cultivé, littéraire, adepte des phrases complexes, il considère que la liberté d’expression est le principal acquis de la démocratie Lire la suite...

Thursday, June 04, 2009

Obama speech @ Al Azhar University - Cairo


Watch CBS Videos Online

Source: cbsnews.com

Anew Beginning


Source : whitehouse.gov Lire la suite...

Sunday, May 24, 2009

Ciao Capitano



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Friday, May 22, 2009

Hommage tardif à Abdelkébir Khatibi ( l'Intellectuel global)

Je ne le connais pas bien, je n'ai pas pu encore. Je n'ai pas su prendre le temps. Il est déjà parti.
Voici un article sur sa vie que je viens de retrouver dans Babelmed.net (Il est signé Yassin Temlali).

S’il était besoin de mots pour qualifier le regretté Abdelkebir Khatibi, ce seraient : «intellectuel global». Entré dans le monde de la littérature par un roman, «La mémoire tatouée» (1971), il n’a pas tardé à révéler d’autres talents authentiques : celui de critique littéraire («Le roman magrébin», 1979 et «Figures de l'étranger dans la littérature française», 1987) ; d’historien de l’art («L’art calligraphique de l’Islam», 1994 et «l’art contemporain arabe, 2002) ; et enfin, de chercheur en sciences sociales qui, à l’écart des sentiers battus, s’est intéressé aussi bien à son pays, le Maroc («La civilisation marocaine», 1996), qu’au Maghreb dans son ensemble («Penser le Maghreb», 1993).
Abdelkébir Khatibi n’a jamais distingué ces disciplines artificiellement, pour le simple plaisir de rallonger la liste de ses «qualifications». Elles ne constituaient pas pour lui des univers étanches, séparés les uns des autres par l’épais voile de lexiques aussi spécialisés que souvent abscons. Traversant leurs frontières avec aisance, il ne s’est défini ni comme romancier ni comme critique ni comme sociologue : «Je migre dans [une] constellation d'affinités actives avec les scientifiques, les penseurs et les artistes. Je fais mon travail, c'est-à-dire la transfiguration de mon expérience en un chemin initiatique.» («L’intellectuel et le mondialisme»).
Pour Khatibi, la pensée était une,...


en ce qu’elle a pour objet invariable le monde et l’humain dans leur déroutante complexité. En plus, l’entreprise d’intelligence du Maroc, du Maghreb et du monde arabe recommandait une rigoureuse interdisciplinarité. La sociologie était ainsi mise au service de la critique littéraire et l’étude des motifs berbères au service d’une sociologie marocaine et maghrébine… La philosophie cessait, quant à elle, d’être une réflexion tournant dans le vide sidéral des concepts transcendantaux ; elle devenait un outil d’intelligence des questions d’histoire et de politique.
Ce refus du dogmatisme disciplinaire a eu une éclatante manifestation dans les travaux sociologiques de Khatibi, rares mais originaux. On n’y trouve pas trace de cet académisme rébarbatif qui leur aurait valu les éloges des spécialistes mais aurait limité leur utilité pour d’autres domaines des sciences humaines. Comme Bourdieu, Khatibi faisait descendre la sociologie de son piédestal, l’employant à étudier, en tant que problèmes concrets et pour ainsi dire «politiques», des thèmes comme l’identité ou l’altérité, relevant traditionnellement de la pure métaphysique. Réciproquement, comme dans son essai «L’homme-bombe» (publié dans «Le corps oriental»), un thème politique comme les attentats kamikaze était examiné à la lumière de la psychanalyse, s’éclairant ainsi d’un jour nouveau.
La méfiance envers les évidences était le plus fidèle compagnon de Khatibi. Méfiance envers les doctrines philosophiques, à l’universalisme illusoire, et envers les «acquis» présumés des sciences humaines, ces sciences étant le produit d’histoires épistémologiques particulières. La critique devait porter sur l’objet de l’étude mais elle ne devait pas épargner les instruments de l’étude eux-mêmes.
Ecrivant à une époque d’interrogations fondamentales sur l’identité et le rapport à «l’autre», l’ancien colonisateur, Khatibi ne s’est pas contenté de la critique du legs colonial. Il a préconisé une «double critique» : de la présumée universalité de la culture européenne et du monolithisme de la «culture arabe officielle», rigidifiée par des siècles de littéralisme. Sur le traditionalisme identitaire, il avait un jugement sans appel : «Il n'est pas la tradition : il est son oubli et en tant qu'oubli, il fixe l'ontologie à ce dogme : primauté d'un Etant (Dieu) immuable et éternel, invisible et absent.» Ce rejet du traditionalisme lui faisait rejeter tout patriotisme intellectuel. «J'appartiens à un pays magnifique […] Je lui dois ma naissance, mon nom, mon identité initiale. Je lui dois mon histoire, sauf le récit de ma liberté d'esprit, celle d'avoir à inventer un espace et une relation de dialogue avec n'importe quel être venant vers moi», écrivait-il dans «L’intellectuel et le mondialisme».

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Wednesday, April 01, 2009

Les Transculturelles des ABATTOIRS de Casa






















Un lien est dans le titre Lire la suite...

Wednesday, March 18, 2009

Marocothérapie - YOU NEED IT



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Sunday, March 15, 2009

We R equal - Georges Carlin ( 1937 - 2008)

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Wednesday, March 11, 2009

Wonderful

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Sunday, March 08, 2009

C'est quoi être heureux

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Friday, March 06, 2009

Grace - Lost

Moment...Spend...Worry,
Spend...Fear...Give...Room...Grow
Back...Fear...WorryING
Clear you pathway

Lost, In the dark for so long I was blind in my mind but now I realize
I can open my eyes... and see,
It was me, all along who's was accusing the darkness
when I was the one blocking out my sun
And I stood for too long waitin' for my ship to come,
I was washed up and used, I was trampled and bruised

Here's the news :

Chorus :
Every little moment you spend on a worry
You spend on a fear, just to give it room to grow
So take back your fear and your worrying (and just)
Clear your pathway!


Trouble,
Don't come round here no more knowing I stopped accusing
There's no more divine, tell me where would it hide
'Cause here, in the great hall of mirrors you get what you give,
You project what you live, reflect what you give

Pre chorus :
Great waves of sunshine are comin'up your way,
Open up the flood gates and let your love light shine in


Chorus :
Here, in the great hall of mirrors you get what you give,
You project what you live, reflect what you give

Pre chorus, Chorus, bridge & repeat chorus Lire la suite...

Tuesday, February 10, 2009

Sur le sable (Gibran Khalil Gibran)

Un homme dit à un autre : « A marée haute, il y a longtemps, avec le bout de mon bâton j'écrivis un vers sur le sable; et les gens s'arrêtent encore pour la lire et ils font attention à ce que rien ne l'efface.»
Et l'autre homme dit : « Et moi aussi j'écrivis un vers sur le sable, mais c'était à marée basse, et les vagues de l'immense mer l'ont effacée. Mais dis moi, qu'avais-tu écrit?»
Et le premier homme répondit : « J'avais écrit ceci : "Je suis celui qui est". Mais toi qu'avais-tu écrit? »
Et l'autre homme répondit : « J'avais écrit ceci: "Je ne suis qu'une goutte de ce grand océan." »

Gibran Khalil Gibran Lire la suite...

Saturday, January 10, 2009

CASA NEGRA








ps: hâte le voir Lire la suite...